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Sur le principe du Katamino
je vous laisse découvrir le jeu Gagne ton papa ...
C'est un jeu qui allie reflexion et habileté
pour jouer tout seul , à deux où à plusieurs.
de 3 ans à 107 ans !
Jeu à 2 :
Au Top chrono, soit plus rapide que "papa" pour réaliser les figures imposées des différentes cartes "Penta".
18 cartes = 900 Pentas à trouver.
D’hilarantes parties "speed" de 1 à 3 minutes pour réussir à gagner ton papa.Initiation couleurs et formes
Jeu seul :
En utilisant tout ou partie des 16 pièces de jeu, trouve un maximum de ?Pentas?.
- Reproduis à plat les différents exemples (animaux, formes géométriques).
- Construis les 26 figures en volume proposées sur les 17 planches d’exemples Kataboom.Extension Kataboom
Jeu à plusieurs :
Chaque joueur tour à tour pose une pièce sur l’édifice.
Le joueur qui écroule l’édifice en posant une pièce perd la partie.
(Voir les 3 différentes variantes de la règle du jeu à l’intérieur de la boîte)Contenu :
- jeu en bois
- 10 Pentaminis, 6 Pentaminos
- 1 plateau de jeu, 2 réglettes, 18 cartes Penta
- 21 planches d’exemples en couleur de 18 x 29 cm comprenant 34 modèles à reproduire
- 1 règle du jeu Gagne ton papa
- 1 règle du jeu Kataboom. (Français, Anglais)
- Boite 305 x 195 x 40 mm, poids 900 g
16 pièces de jeu : des centaines de milliers de combinaisons
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Une idée sympa de sortie à partager avec les p'ti bouts pendant les vacances
Du samedi 19 au mercredi 23 octobre 2013
Ouverture tous les jours de 10h à 18h
Parc des Expositions de Paris, Porte de Versailles- Pavillons 6 & 8
Tous les renseignements sur :
http://www.kidexpo.fr
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L'enfant précoce est en besoin d'autorité qui le rassure
mais a du mal à se soumettre.
Voilà peut-être toute la difficulté pour trouver un mode
d'autorité adapté....C'est un enfant avec lequel l'autorité/soumission va droit
dans le mur, pas parce que ces enfants auraient un
irrespect inné de l'autorité et de l'adulte, mais simplement
parce que leur pensée associative et en arborescence les
emmène tout le temps là où on ne voudrait pas, leur besoin
de sens et de justice sont d'un absolu qu'ils ne peuvent
abandonner si facilement....alors ils luttent.
Si on comprend, dès le départ, que les réactions de certains
enfants précoces par rapport à l'autorité ne sont pas une
agression caractérisée de l'adulte mais la réponse à un
conflit interne, alors on aura déjà fait un grand pas.
Si on peut mettre des mots sur ce conflit alors on aidera
l'enfant à le dépasser.
Et c'est dans cette résolution de conflit interne et la
confiance et bienveillance avec laquelle on pourra tenir le
cadre que notre autorité pourra prendre tout son sens et
accompagner l'enfant dans sa construction interne et
sociale.
Notre fonction de tuteur sera de définir le cadre, tenir bon,
et assumer l'organisation d'un monde stable et rassurant.
Cela libérera l'enfant de la responsabilité et l'obligation
d'assumer lui-même les contradictions et incohérences de
notre monde.
Cela ne se fait pas sans difficulté car, comme vous le savez,
l'enfant précoce aime la maîtrise, et vous la laisser, lui
demande de traverser une grande angoisse ; il va donc
trouver plein de bonnes raisons pour essayer de reprendre
la main et vous démontrer que vous n'êtes vraiment pas
assez fiable pour qu'on vous laisse gérer ( tu m'as menti...tu
m'avais promis que...). Se trouve alors l'enjeu majeur :
celui, pour vous, de ne pas lâcher ; « oui vous avez pu avoir
un empêchement, oui vos contraintes ont pu vous
empêcher de tenir une promesse mais être fiable » - ce
n'est pas avoir aucune faille, c'est accepter de les regarder,
être fort - ce n'est pas avoir aucune faiblesse, c'est pouvoir
les reconnaître et les accepter, et le cas échéant les
dépasser.Extrait de la lettre AFEP n°61
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Plus l’enfant est jeune et mieux il peut exploiter ses capacités naturelles à reproduire les sons étrangers à sa langue maternelle...
C'est pourquoi les Mini-Schools ont depuis 40 ans élaboré des méthodes interactives qui s'appuient sur le jeu en s'adaptant à l'âge de l'enfant et à son développement...Les enfants sont réunis par petits groupes de 8 à 12 participants pour suivre une véritable animation tout en anglais. Un animateur, spécialement formé, se rend sur le lieu de la Mini-Schools® pour mettre en œuvre les méthodes originales utilisées.
Apprendre l’anglais tout en s’amusant avec des méthodes adaptées à chaque tranche d’âge, pour vos enfants de 3 à 14 ans c’est possible partout en France.
Pour trouver la mini-scholl la plus proche de chez vous rendez-vous sur :
http://mini-schools.com/anglais-enfant/cours-anglais-enfant-partout-en-france/
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Le Cadre
Le fonctionnement précoce implique un conflit interne très
fort par rapport au cadre, cadre qui protège mais cadre qui
enferme....
Quelle représentation auriez-vous du cadre si vous deviez le
définir en un mot ?
Le cadre c'est ce qui borne, limite l'action de quelqu'un,
circonscrit un sujet.
Mais pour beaucoup de précoces le cadre est vécu comme
« ce qui empêche ».Ceci va s'inscrire très tôt pour ces enfants dont la pensée
puissante et sans fin va vite se heurter à la réalité qui, elle,
est « finie » et incarnée. Pour l'enfant précoce, la
frustration face à cette réalité qui ne veut pas coller à
l'imaginaire va être un conflit très fort qui durera.L'école va malheureusement souvent venir imposer un
cadre qui ne prendra pas en compte le fonctionnement de l'enfant précoce et ses besoins et va très vite lui imposer un
cadre inadapté de manière absolue. Dans ce cas l'enfant
n'aura plus que le choix de se soumettre ou de déranger, la
notion de coexistence entre ses besoins et le cadre n'étant
pas possible.
Très souvent, le premier cadre extérieur et socialisant
qu'est l'école, ne va avoir, comme soucis, que de faire
entrer l'enfant dans « le moule », à structurer ou
réorganiser son mode de pensée en fonction uniquement
des objectifs et critères scolaires, sans se soucier de son
mode de pensée.
Quel parent n'a pas entendu « qu'il fasse d'abord ce qu'on
lui demande et ensuite on verra ce qu'on peut faire! » ?
Le recours à l'autorité, lorsqu'elle touche à la conformation
de la pensée, peut être alors très nocif jusqu'à la dépression
pour certains ou les troubles de comportement pour
d'autres.
L'enfant qui dérange à l'école est un enfant qui n'est pas
reconnu dans ses besoins fondamentaux, à qui on impose
le choix impossible pour lui de se soumettre en se reniant
fondamentalement ou d'être exclu du groupe, rejeté du
cadre qu'on lui avait présenté comme bon pour lui, donc ce
serait lui qui ne serait pas « bon » pour le groupe.
Certains diront, donc il ne faut pas mettre nos enfants à
l'école.....
Ce n'est pas si simple car l'enfant précoce a lui aussi besoin
de certaines méthodes de travail que l'école demande et
propose, parce que vivre en société c'est accepter de
partager des codes communs que l'école donne.
Encore une fois, le problème ne se situe pas au niveau des
principes « il doit ou non aller à l'école » mais du
COMMENT.
Si l'école accepte de voir la complémentarité qu'il peut y
avoir entre l'intelligence précoce et l'intelligence scolaire, si
les deux modes de pensées peuvent être vus comme non
opposés, si les méthodes proposées à l'école peuvent être
vues comme des compléments et non des substituts à leur
propre méthode et leur mode de pensée personnelle,
alors, elles ouvrent l'enfant précoce à d'autres modes de
pensée que le sien, elles l'enrichissent, au lieu de s'opposer
et être destructrices.
Mais pour mettre en place cette démarche de COEXISTENCE,
il faut que nous aussi parents, puissions être
intimement persuadés qu'elle est la solution....car bien
souvent
- soit notre vécu traumatique de l'école nous ferait vite
reculer et rejeter le système scolaire,
- soit, à l'inverse, un vécu sur-adapté au système scolaire
avec réussite à la clef, nous fera nier les besoins de l'enfant
en lui disant qu'il peut très bien s'adapter. Là encore, le
juste milieu n'est pas simple à trouver, et les oscillations
peuvent être fréquentes….
Réconciliation avec le système scolaire après une réunion
où nous nous sommes sentis compris.....
Envie de sortir notre enfant de ce système après une
discussion avec l'enseignant qui décidément n'a rien
compris....
L'enfant précoce trouvera sa place dans le système scolaire
si celui-ci accepte de ne pas venir d'emblée s'opposer à son
fonctionnement interne. Cela me paraît être l'enjeu pour
que le cadre scolaire ne soit pas vécu comme répressif mais
lieu de rencontre. Pour que l'autorité ne soit pas que
sanction mais aussi espace de construction de soi.
Et nous, en tant que parents, allons avoir la lourde tâche de
mettre des mots sur ces besoins, de favoriser la rencontre,
de dépasser nos propres griefs vis-à-vis d'un système qui a
pu nous faire souffrir nous-mêmes. Ça ce sera notre gros
travail!
Que ce soit à l'école ou à la maison, une autorité rigide et
qui n'intègrerait pas les spécificités de l'enfant précoce ne
peut être que néfaste et destructrice. Elle coupera l'enfant
de ses ressources propres.Extrait de la lettre de l'Afep n°61
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